Bougies vacillantes, flûtes de pan et vers se répondent. Le temps s’arrête, et la musique enlace la poésie.

Sous la lueur vacillante des bougies, le groupe Samara a enchanté la veillée du samedi 27 septembre chez l’écrivain Jean Aicard.

Les flûtes de pan s’élevaient avec délicatesse, caressant l’air de leurs notes légères, tandis que la poésie se mêlait à la musique dans un souffle harmonieux. Chaque mot, chaque son semblait danser dans la lumière douce, créant un instant suspendu où le temps lui-même paraissait retenir son souffle.

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